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BARBAROQUE

 

L'idée d'intégrer l'orgue mécanique à l' orchestre date du siècle dernier, elle nous est venue en 1985 et ambitionnait, dans un grand élan civilisateur, de donner ses lettres de noblesse à l'instrument barbare : ainsi notre orchestre, de  baroque  est devenu  Barbaroque . Au fil des transcriptions, la nature naïve et l'insolente virtuosité de l'étrange machine, nous révéla que le noble répertoire que nous lui destinions avait bel et bien des origines roturières. Il n'en fallait pas plus pour décider Bandonéon, Tympanon et autre Contrebasse à rejoindre l'intrus...

 

Lien : barbaroque.net

 

 

 

 

 

 

LIFE IS NOT A PICNIC

 

WELT – KLEZMER CONCERT

 

L’histoire débute autour de la préparation d’une soupe ashkénaze.Le cuisinier tour à tour chanteur et narrateur, habité par un « Dibbouk », esprit espiègle et moqueur, donne les clés de la compréhension du monde des Shtetls*.​Le cuisinier, envahi par ses démons, les dibbouks, se fait " dibbouker " et soudain son accent se transforme ; il parle et chante une autre langue : la langue des morts, le Yiddish.Ses chants avec « le vendeur de cigarettes, le partisan, l’amoureux, le rabbin, le pauvre » nous plongent dans des souvenirs lointains.Les musiciens tels des fantômes sont le relief musical de cet univers.
Le spectateur à son tour " dibbouké ", part à la rencontre des Shtetls et de ses habitants qui par magie reprennent vie.Un livre s’ouvre, les pages se tournent, une histoire prend forme, des chansons racontent…

 

lien : lifeisnotapicnic.com
 

 

 

 

MADRESELVA TANGO

 

Madreselva, C'est le chèvrefeuille ainsi que le titre d'un tango de la première heure. Pourquoi les fleurs du chèvrefeuille renaissent- elles chaque année et non les amours passés? C'est ce que lui demande le narrateur qui se lamente. Ce texte très poétique est à l'image de ces « canciones » argentines, tangos, milongas et autres valses .Les quatre musiciens proposent un concert de thèmes chantés, autour du tango et de l'argentine. Une heure trente d'un programme conçu comme une "milonga", ou bal tango, avec ses "tandas" et "cortinas", interprété par Monique Boge au chant et percussions, Didier Klein au piano, Bernard Rey à la contrebasse et Alain Territo au bandonéon.

 

lien : osmosedesarts.fr

 

 

 

 

CHANSONS VOLEES PAR AMOUR

 

Mieux qu'une soirée diapos, le trio dégainent toutes les images de leurs vies agitées, des scouts jusqu'aux surboums, le grand virage de 68, avec les heureuses et joyeuses utopies, et bien d'autres aventures palpitantes qu'ils ne faut absolument pas rater si l'on veut bien comprendre la marche du monde...un concert salutaire, une potion de potacheries, de digressions lubriques et de grandes philosophies...
Des titres entièrement faits à la main, ou d’une facture de faussaires à faire damner un expert de « chorus », voire des oeuvres d'auteurs connus et inconnus qui se glissent dans un spectacle où l'humour est omniprésent.

 

lien : epouvantail.pagesperso-orange.fr

 

 

 

 

LA CONTREBASSE

 

 

De par sa forme, de par le succès qu’elle a rencontré, absolument partout où elle a été jouée, La Contrebasse est un exemple magnifique – et rarissime - de théâtre populaire contemporain.

 L’humour est omniprésent pour dire le désespoir du contrebassiste. Pour dire la tristesse de son existence et le pathétique de sa condition…L’homme est drôle et infiniment touchant…

Au travers de toute une réflexion sur l’art, sur l’histoire de la musique classique, sur le fonctionnement cloisonné de l’orchestre, au travers de son amour pour une chanteuse d’opéra, qu’il sait qu’il ne pourra jamais atteindre, il y a du tragique et de la lutte des classes qui s’expriment dans ce texte. Le personnage se révolte et se débat, cherche des moyens d’exister malgré tout, d’avoir lui aussi « son heure de gloire », même si ce court moment d’existence et de visibilité, risque de signer sa perte définitive

« Un compositeur digne de ce nom n’écrit pas pour la contrebasse, il a trop de goût pour ça. Et s’il le fait, c’est par plaisanterie. »

« La contrebasse, c’est plutôt, comment dire, un embarras qu’un instrument. »

 

 

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